LES TAPISSIERS (1.519-1646).
277 (Arch, nat.,
la mariée, Françoise et Jeanne de la Planche ; Abimelech de Cumont, sr de Boisgrollier, Conseiller au Parlement — (Arch, nat., Yi84, fol. 394 v°.)
573. — Gilles de Baye, tapissier. - 2b fé­vrier 1646.
. Donation mutuelle de Gilles de Baye, ta­pissier flamand travaillant aux manufactures dé tapisserie, façon de Flandre, pourle ser­vice du Roy establies à Saint Marcel, et de Catherine Arcesse, sa femme(1). — (Arch. nat., Y 185, fol. 285 et 315 v°.)
5T4. — Mariage de la veuve de Gilles de Bail , tapissier. — 1 o mai 1647.
Contrât de mariage de Jacques Geshn, bourgeois de Paris, demeurant derrière le Palaiz-Royal, paroisse Saint-Eustache, natif de Longué en Anjou, d'une part, et de Cathé- . rine Harie, veuve de Gilles de Bail, en son vivant tapissier de Sa Majesté en ses tapisse­ries de haute lisse au faubourg S' Marcel en la maison des Gobelins, native de Hainault, de Notre-Dame-de-Hault, à trois lieues de
Bruxelles, d'autre part. Y* 185, fol. 425 r°.)
575.  —- Pierre Lefroid, tapissier de haute lisse. - 14 octobre 1648.
Donation par Pierre Lefroid, maître ta­pissier de haute lisse à Paris, rue Saint­Martin, à Catherine Picart, femme de Louis Le Froid, marchand mercier à Paris, fille d'un premier mariage de Claude Millon, femme dud. Pierre Le Froid, des droits suc­cessifs à lui échus par le décès de Geneviève Le Froid, consistant en diverses rentes. — (Arch, nat., Y 186, fol. 37o r°.)
576.   — Mariage de la fille de Zacharie Denise, tapissier. — 9 3 juin 164 6.
Contrat de mariage de Marguerite Denize, fille de Zacharie Denise, tapissier dans la manufacture des tapisseries façon de Flandre, et de Julienne de Metthe, demeu­rant ù Saint-Gèrmain-des-Prés, rue des Boucheries, avec Jean Amcombrosc, tailleur allemand, d'autre part. — (Arch, nat. Y 185, fol. 199 r°.)
111 Le 1 b mai 1647, la veuve de Gilles de Baye contractait un nouveau mariage avce un sieur Geslin, bourgeois de Paris; mais, tandis que le scribe l'appelle ici Catherine Arcesse, il lui donne, l'année suivante, le nom de Catherine Harie, nouvelle preuve qu'il ne faut accepter les noms inscrits dans nos registres que sous les plus expresses réserves.